Vous avez vu que nous proposons sur la boutique en ligne du laboratoire des analyses par biorésonance. Voici des explications qui vous permettront de comprendre de quoi il en retourne :
Il s’agit bel et bien de médecine quantique, c’est-à-dire qu’on examine un individu par le biais des ondes qu’il émet depuis l’ensemble de tous les atomes qui le composent. Au lieu de tester des réactions chimiques, ou de compter des cellules ou des molécules, comme dans les analyses habituelles, on observe la combinaison de toutes les vibrations de l’organisme. Bien sûr, la complexité de cet ensemble est énorme et même illisible comme telle, c’est comme si on voulait mesurer toutes les harmonies de l’œuvre entière de Bach ou Duke Ellington.
Chaque atome, lui même composé de particules, a son mode de vibration, qui est le miroir de son aspect corpusculaire. La physique quantique nous a appris que ces deux réalités sont inséparables et équivalentes pour l’observation. C’est pourquoi la pertinence d’observer les ondes d’un ensemble d’atomes, arrangés en molécules associées, est totale; d’autant plus que nous disposons de tous les outils mathématiques pour les étudier.
Le principe général est de considérer l’organisme comme un grand hologramme, qui contient dans chaque cellule l’ensemble des informations que tout l’individu détient. Il se trouve qu’il y a une molécule qui est la même dans toutes les cellules, sauf celles de la reproduction, c’est l’ADN. Cet ADN n’est jamais seul, il est mêlé d’eau – comme toujours, si fondamentale (voir l’article « contre une biologie déshydratée ») – et de protéines, il est enroulé de nombreuses fois et de façons différentes, et il est entouré d’enzymes chargées de sa lecture, sa transcription et sa transformation en chromosomes, pour les divisions cellulaires. L’ADN est donc le candidat idéal pour une analyse quantique par biorésonance.
Revenons à la pratique : un appareil de biorésonance envoie des ondes électromagnétiques vers le prélèvement contenant ce fameux ADN, via ce qui est prélevé sur l’individu testé : il suffit de quelques poils et leurs racines, un frottis sur une gencive ou la peau, un peu de sang, un petit peu d’urine ou de selles...très facile à faire et non invasif (pensez aux animaux intouchables sans anesthésie). Ces ondes sont programmées pour être caractéristiques d’une enzyme, d’une fonction organique, d’un microbe, un toxique, un nutriment, un remède etc… et ce qui est observé en détail, c’est l’interférence entre cette onde bien choisie et ce qu’émet l’organisme du sujet testé. Et là, soit il ne se passe rien, aucune interférence, donc résultat négatif, soit il y a une interférence, qui va jusqu’à la résonance, plus ou moins forte. A ce moment là l’oscillateur qui sert d’outil de mesure, montre un battement précis qui permet de savoir si l’organisme souffre d’un fonctionnement anormal vis-à-vis de l’information testée et s’il y a dégénérescence, inflammation ou déficit fonctionnel.
Il y a près de 300 critères de mesure généraux et 200 par espèce animale. Une analyse de toutes ces fréquences demanderaient deux journées de travail ! Donc le choix des tests à réaliser est très important, selon ce qu’on cherche en fonction des signes montrés par un individu. Dans la pratique, les cas complexes peuvent être bien analysés par 120-150 tests et les plus simples par 20-30 seulement.
L’analyse des perturbations liées à l’environnement (pollutions chimiques, physiques, géobiologiques, stress physiologique et psychique) demande environ 80 tests. C’est une analyse majeure pour connaître les causes primaires dans des cas de pathologie ou de malaise chronique Nous la recommandons fortement.
L’analyse psycho-émotionnelle porte sur environ 60 tests, elle est extrêmement précise et permet de mettre au point la formule d’un remède approprié, sur tous les cas de mal-être comportemental.