Les utilisateurs, qu’ils soient vétérinaires, ou les propriétaires des animaux malades sont souvent surpris de l’efficacité des produits utilisés en association : ABV Visco-DG, ABV gingko-EZ, (parfois PRV 512) et Tri-factor. Il est vrai que depuis maintenant 10 ans d’application de cette thérapie sur des cas nombreux et variés de cancers chez des chiens ou des chats, nous pouvons observer environ 80% de résultats positifs, à savoir un réel bénéfice en terme de confort de vie et de durée de vie. Nous ne prétendons ni guérir, ni substituer cette thérapie à ce que la médecine conventionnelle peut apporter. Le tout est d’être complémentaire, dans un vision très large, et la gestion d’un cas de cancer demande toujours un avis médical.

Voici en détail ce qui fait leur synergie et comment ils fonctionnent. Une cellule n’est pas soit cancéreuse soit saine, elle suit tout un chemin qui l’amène vers la dégénérescence, avec un noyau cellulaire qui n’assure plus que des divisions hors de tout contrôle. Le premier pas de ce chemin est l’encrassage cellulaire : les capacités cellulaires naturelles conviennent pour éliminer les radicaux libres produits par la respiration cellulaire : chaque cellule utilise l’oxygène et le glucose pour en faire de l’eau, de l’ATP (le supercarburant de l’organisme), grâce à un transfert de particules élémentaires (électrons, protons et photons) très importants pour toutes les fonctions cellulaires.

Les mitochondries sont les centrales énergétiques où cette respiration se produit, elles sont des milliers par cellule, en particulier partout où il y a un gros travail à faire : foie, cerveau, muscles dont le cœur, système immunitaire. Les mitochondries sont très exposées car elles affrontent en premier la libération des radicaux libres issus de l’oxygène. Elles s’en protègent par une chaîne d’enzymes et d’acides aminés qui assure leur neutralisation. Mais si cette chaîne est déjà très occupée par la transformation de toutes les autres substances toxiques apportées par l’alimentation, les pollutions, les médicaments, les transferts énergétiques perdent leur efficacité.
Lorsque les radicaux libres sont mal neutralisés, ils génèrent des réactions en chaîne qui détruisent les membranes des mitochondries et celles-ci meurent les unes après les autres. La cellule perd donc son ATP, qui est le seul carburant apte à faire tourner tous les mécanismes cellulaires, par des propriétés quantiques hors norme. Une cellule non fonctionnelle commence à être dangereuse, sa membrane commence à se dégrader. En principe à ce stade, elle perd ses capacités de communication avec ses voisines, et des signaux sont envoyés qui la mènent à l’apoptose, c’est-à-dire son « suicide » sans aucune inflammation. Or les mitochondries, qui lancent ce processus, ne sont plus là et la cellule survit en mode hypoxique et anormal.
Sans utiliser l’oxygène, la cellule trouve son énergie dans un processus économique : la fermentation, elle utilise ce qui lui arrive comme glucose pour le transformer sans oxygène, et produit aussi de l’ATP, mais 10 fois moins qu’auparavant. Cela reste suffisant pour sa survie sans assurer tout ce qu’elle faisait avant pour le tissu ou l’organe dont elle fait partie. Que ce soit un os, un rein, un ganglion, une glande, du cerveau, peu importe c’est le même résultat : la survie puis les divisions d’une cellule non fonctionnelle, dangereuse, incapable d’échanges avec ses voisines ou de recevoir des signaux de commandement..
La fermentation produit de l’acide lactique et de nombreuses toxines qui s’accumulent d’abord dans la cellule malade puis se collectent autour  Dès lors, la fabrication des chromosomes et la transcription de l’ADN, qui sont de vrais miracles de machinerie cellulaire et demandent l’harmonie de nombreuses enzymes, beaucoup d’énergie, et de la « propreté » pour que les erreurs de lecture soient corrigées, ne répondent plus à aucun « plan fonctionnel ». C’est la vraie naissance du cancer.
Les mitochondries sont les centrales énergétiques où cette respiration se produit, elles sont des milliers par cellule, en particulier partout où il y a un gros travail à faire : foie, cerveau, muscles dont le cœur, système immunitaire. Les mitochondries sont très exposées car elles affrontent en premier la libération des radicaux libres issus de l’oxygène. Elles s’en protègent par une chaîne d’enzymes et d’acides aminés qui assure leur neutralisation. Mais si cette chaîne est déjà très occupée par la transformation de toutes les autres substances toxiques apportées par l’alimentation, les pollutions, les médicaments, les transferts énergétiques perdent leur efficacité.
Lorsque les radicaux libres sont mal neutralisés, ils génèrent des réactions en chaîne qui détruisent les membranes des mitochondries et celles-ci meurent les unes après les autres. La cellule perd donc son ATP, qui est le seul carburant apte à faire tourner tous les mécanismes cellulaires, par des propriétés quantiques hors norme. Une cellule non fonctionnelle commence à être dangereuse, sa membrane commence à se dégrader. En principe à ce stade, elle perd ses capacités de communication avec ses voisines, et des signaux sont envoyés qui la mènent à l’apoptose, c’est-à-dire son « suicide » sans aucune inflammation. Or les mitochondries, qui lancent ce processus, ne sont plus là et la cellule survit en mode hypoxique et anormal.
Sans utiliser l’oxygène, la cellule trouve son énergie dans un processus économique : la fermentation, elle utilise ce qui lui arrive comme glucose pour le transformer sans oxygène, et produit aussi de l’ATP, mais 10 fois moins qu’auparavant. Cela reste suffisant pour sa survie sans assurer tout ce qu’elle faisait avant pour le tissu ou l’organe dont elle fait partie. Que ce soit un os, un rein, un ganglion, une glande, du cerveau, peu importe c’est le même résultat : la survie puis les divisions d’une cellule non fonctionnelle, dangereuse, incapable d’échanges avec ses voisines ou de recevoir des signaux de commandement..
La fermentation produit de l’acide lactique et de nombreuses toxines qui s’accumulent d’abord dans la cellule malade puis se collectent autour  Dès lors, la fabrication des chromosomes et la transcription de l’ADN, qui sont de vrais miracles de machinerie cellulaire et demandent l’harmonie de nombreuses enzymes, beaucoup d’énergie, et de la « propreté » pour que les erreurs de lecture soient corrigées, ne répondent plus à aucun « plan fonctionnel ». C’est la vraie naissance du cancer.
  • Approche thérapeutique
    1 :  Il faut trouver tous les moyens pour préserver la capacité anti-oxydante, car de l’oxydation à l’inflammation au cancer, il n’y a que deux pas. Les apports à l’organisme doivent faire vivre sans nuire, tout est là.  L’alimentation est bien sûr un point fondamental. Mais face à l’ensemble des pollutions,  les besoins de détoxification sont plus importants, il ne faut pas se contenter des apports physiologiques, calculés pour un régime « normal ».
  • Pour résumer, c’est ici le rôle de ABV Gingko-EZ
    2- augmenter les capacités de défense : les anti-oxydants sont de deux nature, ceux que les cellules possèdent déjà, et ceux que l’on trouve dans une bonne alimentation : polyphénols, ou les flavonoïdes etc…le curcuma joue ici un rôle majeur, il est u des grands composants de ABV Visco-DG.
    3- relancer les capacités enzymatiques : c’est un des effets attendus avec l’ABV gingko-EZ, il contient un extrait de feuilles jaunies de cet arbre incroyable de résistance. C’est pourquoi j’inclus ce produit dans tous les protocoles anti-cancéreux et toutes les situations de faiblesse du foie et des reins.

4- relancer les capacités des mitochondries : les mitochondries possèdent leur propre ADN, indépendant, et peuvent se diviser. Une cellule peut retrouver la voie du bon fonctionnement, pour cela il faut l’y aider. Le curcuma est là pour ça, par ses propriétés pigmentaires, il est d’une couleur orange soutenue, il permet des effets quantiques dans la cellule qui relancent la capacité respiratoire. C’est ce qui explique ses effets aussi étendus et variés, que l’on ne peut résumer à une ou deux réactions chimiques comme pour un médicament. Il est un des constituants majeurs de l’ABV visco-DG..

5- restaurer la stabilité de l’ADN nucléaire : Le Pr Beljanski, découvreur  des vertus anticancéreuses du Pao pereira, constituant central de l’ABV visco-DG a montré que ses principales molécules sont capables d’arriver au noyau. Là elles permettent la restauration de la structure fonctionnelle de l’ADN, qui assure son utilisation optimale par les enzymes du noyau. C’est un domaine très compliqué, lire l’article sur le PAO qui vous donnera plus d’informations.
6- neutraliser l’acidose : il faut que l’acide lactique tissulaire soit neutralisé et éliminé par l’urine. Pour cela, il faut des apports en calcium, en potassium, en magnésium et des médicaments anti-acides. Si possible utiliser le dichloroacétate, neutralisant majeur de l’acide lactique.
7- un point spécial sur l’immunité : les cellules immunitaires vont être très sollicitées dans ce travail, un cancer est épuisant car la lutte immunitaire consomme beaucoup d’énergie. Les réactions immunitaires sont logées à 80% dans l’intestin, il faut donc supprimer tout ce qui vient y perturber l’immunité. C’est autant de travail en moins qui permet de laisser les cellules sur le bon champ de bataill. Les intolérances alimentaires sont donc à dépister et écartertout n’est pas contrôlable néanmoins, c’est pourquoi le Tri-factor classic est inclus dans le protocole anti-cancéreux de toute façon et dès le début car c’est un excellent régulateur de l’immunité intestinale.

Limites de cette approche
Toute cellule en cours de cancérisation n’est pas rattrapable, les cellules trop dégénérées doivent disparaître. Pour cela, la chirurgie, la radio- la chimiothérapie sont opérantes. Et un autre grand recours est de les priver de ressource énergétique, donc de glucides, puisque c’est leur seule ressource. D’où l’importance de médicaments du diabète et d’un régime bien adapté sans glucide.

En conclusion, Aquabiovet tient à faire appliquer cette thérapie globale à très large échelle. En l’absence de grandes difficultés pratiques, nous estimons que chaque animal atteint d’un cancer doit être soigné par ce moyen. Il n’en souffrira pas et ses chances sont grandes qu’il en bénéficie vraiment. Attention, ce n’est pas parce que cette thérapie n’est pas médicamenteuse qu’elle ne doit pas s’inscrire dans un rigoureux suivi médical par un vétérinaire.

Dr Nicolas Baudin-J., vétérinaire, 04/07/20202

preloader